🟥 UN RISQUE / avec une forte connotation de danger / qui correspond peut-être davantage à une évolution du risque (éthique -fraude-, propriété intellectuelle, protection des données, RH...) qu’à un nouveau risque ? / qui doit bénéficier d’une démarche ERM (identification, évaluation, maîtrise, analyse des résultats).
ET
🟥 UNE OPPORTUNITE notamment pour l’activité Assurances de la Fonction Risk Manager de type managérial : des renseignements (données...) à la mesure de ses décisions. / un outil qu’il va falloir apprendre à utiliser pour avoir des renseignements structurés ; sans cette structuration, il n’y aura pas de créativité ; avec cette structuration, l’IA permettra d’être plus intelligent et plus réactif.
La lecture du chapitre 1 de notre ouvrage vous éclairera sur le premier point. « Risk Management. Organisation et positionnement de la Fonction Risk Manager. Méthodes et Gestion des risques. » Editions Gereso. 293 pages, 18,99 à 27 euros.L’écoute de l’interview de Bénédicte Huot de Luze aux Echos (accessible ci-dessous) vous éclairera sur le second.
Elle vous permettra de :
✅ Découvrir une traduction du terme même d’IA, moins magique mais plus proche de la réalité. Un Système de Renseignements Augmentés.
✅ D’approcher son apport sur l’activité Assurance de la Fonction Risk Manager. Un terrain privilégié.
✅ D’y voir l’importance de l’humain pour qu’elle soit une opportunité. Approche Socio-cognitive.
✅ D’avoir un cadre clair pour aborder l’IA dans l’activité de gestion des risques.
« L’intelligence artificielle est un outil majeur pour le secteur de la l’assurance. Entre innovation, gestion des risques et défis éthiques... Invitée du podcast « De l’autre côté de l’IA », Bénédicte Huot de Luze, ancienne déléguée générale de l’AMRAE, décrypte l’impact de l’IA sur l’assurance.
Dans l’imaginaire collectif, l’intelligence artificielle est souvent perçue comme une magie technologique, une sorte de génie numérique créatif capable de répondre à toutes nos interrogations à partir de rien. Cette vision erronée masque une réalité bien plus terre à terre. «
Loin de toute magie, l’IA repose sur la structuration rigoureuse de données et d’algorithmes », souligne Bénédicte Huot de Luze. L’assurance est une branche particulièrement propice au développement et à l’utilisation de l’intelligence artificielle. En effet, les assureurs ont accès à des volumes considérables de données, dû à la mise en place d’un système d’automatisation des données antérieur à l’explosion de l’intelligence artificielle.»
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