(version en italien)
Trois ans après l'entrée en vigueur du GDPR le 25 mai 2018, il y a encore de nombreuses organisations qui...
affronter avec difficulté le chemin de l'adaptation constante à la législation et à la soft law en constante évolution.
la mise à jour.
Le GDPR a d'ailleurs accompagné la directive e-Privacy de 2002 dans le cadre réglementaire européen, destiné à être
pour être remplacé par le règlement sur la vie privée en ligne, qui est en préparation depuis quelques années déjà.
C'est précisément la dimension "en ligne", dans la mesure où elle est publique et médiatisée, qui est la plus exposée aux critiques, aux attaques et à la violence.
ou des contrôles par les autorités chargées de la protection des données, en Italie le GPDP (Garante per la Protezione dei
Données personnelles), assisté par le "Nucleo Speciale Tutela Privacy e Frodi Tecnologiche" de la Guardia di Finanza.
L'obsolescence de la directive "vie privée et communications électroniques", telle que mise à jour par la directive n° 2009/136/CE, et le retard
L'adoption du règlement relatif à la protection de la vie privée en ligne a également entraîné une multiplication des positions des autorités chargées de la protection des données (APD).
) sur certaines questions, au premier rang desquelles celle des cookies, qui n'est peut-être plus tout à fait en phase avec la directive sur la protection des données.
Disposition de mai 2014 de l'autorité italienne de protection des données, désormais remplacée par les " Directives sur les cookies et autres outils de suivi - 10 juin 2021 ".
suivi - 10 juin 2021"(publié au Journal officiel n° 163 du 9 juillet 2021).
L'actualité de la question des "cookies" est confirmée par l'attention que lui a récemment accordée l'Observatoire de l'Internet.
Media de l'école de management du Politecnico di Milano, en référence au scénario "cookieless" (Mars
2021), par PWC avec le séminaire "Cookies et autres outils de traçage - nouveautés et pistes de réflexion" (avril
2021), et, surtout, par NOYB.eu, une association de protection des données fondée par le militant Max
Schrems, qui a récemment lancé un système automatisé par lequel elle prépare des centaines
de plaintes contre l'utilisation abusive de cookies inutiles (actuellement en cours).
Notre analyse s'est concentrée sur les cookies, mais aussi sur les avis de confidentialité, l'utilisation de mesures techniques appropriées...
la désignation d'un DPD (délégué à la protection des données) et l'adhésion à des réglementations volontaires visant à
la protection des données.
Ce document peut également constituer un point de départ utile dans la perspective du scénario "sans cuisson", qui est le suivant
en 2022 prévoit l'abandon des cookies de tiers pour le reciblage, le suivi intersites et la gestion des données.
le profilage des utilisateurs à des fins de marketing personnalisé, au profit d'autres outils (par exemple, Google Cohorts)
même s'ils peuvent porter atteinte à la vie privée des personnes
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